Toit terrasse bois : guide 2025 pour concevoir, étanchéifier et budgéter votre projet

Un toit-terrasse bois désigne une toiture plate dont l’élément porteur est constitué d’une ossature ou d’une charpente en bois, recouverte d’une membrane d’étanchéité et éventuellement d’un platelage accessible aux piétons. Ce système convient aux extensions, aux abris de jardin, aux annexes habitables et aux rénovations de bâtiments anciens. Comptez en moyenne 180 à 350 € par mètre carré selon la configuration (non accessible ou accessible), l’étanchéité choisie (EPDM, bitume, PVC-TPO) et le revêtement final. La réussite du projet repose sur le respect du DTU 43.4, une pente minimale de 2 % et des relevés correctement dimensionnés. Ce guide vous aide à concevoir votre toit-terrasse bois en 6 étapes, à comparer les systèmes d’étanchéité et à éviter les erreurs coûteuses.
Toit-terrasse en bois : principes constructifs à respecter
L’élément porteur d’un toit-terrasse bois se compose de solives ou de fermettes en bois massif (épicéa, douglas) ou en lamellé-collé, espacées selon les charges à supporter. Le NF DTU 43.4 encadre la conception des toitures-terrasses inaccessibles et accessibles, en précisant les exigences pour la pente, les relevés d’étanchéité et les évacuations des eaux pluviales. Bien que ce DTU concerne principalement les éléments porteurs en béton, ses principes d’étanchéité et de mise en œuvre s’appliquent également aux structures bois, complétés par les recommandations professionnelles de la Fédération Française du Bâtiment et du Centre Technique du Bois (FCBA).
Pente minimale : un toit plat bois doit présenter une pente d’au moins 2 % pour évacuer correctement les eaux pluviales. Sur les grandes portées (supérieures à 5 mètres), visez 3 à 5 % pour compenser les déformations du bois sous charge et garantir un écoulement permanent. Cette pente se réalise soit par des solives de hauteur variable, soit par un lattis incliné, soit par un panneau isolant posé en pente.
Relevés d’étanchéité : la membrane doit remonter en périphérie sur au moins 15 cm au-dessus du point haut de la terrasse finie. Ces relevés se fixent sur des ceintures en bois (acrotères) ancrées solidement à l’ossature. Un relevé insuffisant expose à des infiltrations en cas de stagnation d’eau ou de chasse-neige.
Acrotères : ils forment la ceinture verticale qui entoure le toit-terrasse. Sur une ossature bois, l’acrotère peut être constitué de montants bois habillés d’un bardage ou d’un panneau dérivé, traité pour résister aux intempéries. Sa hauteur totale (support + relevé) doit dépasser 15 cm par rapport au niveau fini de la terrasse.
Évacuations des eaux pluviales : prévoyez au minimum deux points d’évacuation (naissances EP) pour une surface de 40 m², positionnés aux points bas. Équipez-les de parapluies ou crapaudines pour éviter l’obstruction par les feuilles. Le dimensionnement des descentes respecte le DTU 60.11 en fonction de la surface de collecte et de la pluviométrie régionale.
Accessibilité : un toit-terrasse non accessible supporte uniquement les charges d’entretien (120 kg/m²). Un toit-terrasse accessible aux piétons doit résister à 250 kg/m² (charge d’exploitation), impose un garde-corps conforme à la norme NF P01-012 (hauteur 1 m minimum, remplissage sécurisé) et nécessite une protection de la membrane d’étanchéité (plots, dalle, platelage).
Prix 2025 d’un toit-terrasse bois : fourchettes réalistes par poste
Le budget global d’un toit-terrasse bois se décompose en trois postes principaux : la structure porteuse, l’étanchéité et le revêtement final.
Structure bois (ossature + plancher) : comptez 80 à 150 € par mètre carré pour l’ossature en bois massif (solives, entraxes, contreventements) et le platelage support (panneaux OSB ou contreplaqué CTBH). Ce tarif intègre le bois de charpente, la quincaillerie (sabots, équerres) et la main-d’œuvre. Une structure renforcée pour terrasse accessible coûte 120 à 180 € du m², car elle nécessite des sections plus importantes et des entraxes réduits.
Étanchéité : les membranes EPDM en pose monolithique se situent entre 40 et 70 € du m² fourni-posé. Les systèmes bitume multicouches (sous-couche + finition) oscillent de 50 à 90 € du m² selon le nombre de couches et la complexité des relevés. Les membranes PVC-TPO soudées à l’air chaud coûtent 45 à 80 € du m². Ces prix incluent l’écran de séparation, les bandes de renfort et les relevés.
Revêtement terrasse accessible : un platelage bois exotique (ipé, cumaru) sur plots réglables représente 60 à 120 € du m² selon l’essence et la largeur des lames. Le bois composite coûte 50 à 90 € du m². Les dalles sur plots (céramique, pierre reconstituée) varient de 40 à 100 € du m². Les systèmes de dalles gravillonnées (protection lestée) sont plus économiques, autour de 20 à 35 € du m².
Facteurs de variation : la portée entre appuis influence directement la section des solives et donc le coût. L’ajout d’un isolant thermique (laine de roche, polyuréthane) majore le budget de 20 à 50 € du m². La complexité géométrique (décrochements, lucarnes, puits de lumière) alourdit la main-d’œuvre. Enfin, les prix peuvent fluctuer de 15 à 25 % selon les régions, avec des tarifs plus élevés en Île-de-France et dans les grandes métropoles.
Exemples chiffrés :
- Toit-terrasse non accessible de 20 m² (abri de jardin, extension simple) : structure 100 €/m² + EPDM 55 €/m² + protection gravillon 25 €/m² = 180 € du m², soit 3 600 € total.
- Toit-terrasse accessible de 40 m² (extension avec platelage) : structure renforcée 150 €/m² + bitume 70 €/m² + platelage composite 70 €/m² = 290 € du m², soit 11 600 € total.
Ces montants s’entendent hors isolation thermique, garde-corps et études structurelles éventuelles.
Quelle étanchéité sur ossature bois : EPDM, bitume ou PVC-TPO ?
Le choix de la membrane d’étanchéité dépend de la configuration du toit-terrasse, de l’accessibilité prévue et des contraintes de mise en œuvre.
EPDM (Éthylène Propylène Diène Monomère) : ce caoutchouc synthétique en lés larges (jusqu’à 15 mètres) permet de couvrir de petites surfaces sans joint. Les lés se collent entre eux par vulcanisation à froid (bande adhésive) ou se fixent mécaniquement. L’EPDM résiste aux UV, au gel et aux écarts thermiques ; sa durée de vie dépasse 30 ans. Il tolère les mouvements du support bois sans se fissurer. Cependant, il reste sensible aux poinçonnements (gravillons anguleux, chutes d’outils) et nécessite une protection si la terrasse est accessible. Les relevés se réalisent avec des bandes préformées ou des équerres collées.
Bitume SBS/APP : les membranes bitume se posent en multicouches (sous-couche + finition), soudées au chalumeau ou collées à froid. Le bitume modifié SBS (élastomère) offre une bonne souplesse à froid, tandis que le bitume APP (plastomère) résiste mieux à la chaleur. Ce système éprouvé convient aux configurations complexes (nombreux relevés, souches traversantes). La durée de vie atteint 20 à 25 ans. Les contraintes incluent l’utilisation de flammes (interdite dans certains contextes) et l’odeur des diluants lors de la pose à froid. L’entretien régulier (nettoyage, inspection) prolonge la longévité.
PVC-TPO (polychlorure de vinyle ou polyoléfine thermoplastique) : ces membranes thermoplastiques se soudent à l’air chaud au niveau des joints, garantissant une étanchéité homogène. La pose est rapide sur les grandes surfaces planes. Le PVC-TPO résiste aux UV, aux micro-organismes et aux produits chimiques. Attention toutefois aux compatibilités : certains isolants (polystyrène) ou colles nécessitent un écran de séparation pour éviter les réactions chimiques. La durée de vie varie de 20 à 30 ans selon la formulation.
Le tableau ci-dessous synthétise les points clés pour vous guider.
Tableau comparatif express : étanchéité & usages
Note pour les mobinautes : basculez votre téléphone à l’horizontal pour une lecture optimale du tableau.
| Système | Points forts | Limites | Cas idéal |
|---|---|---|---|
| EPDM | Longévité, souplesse, peu de joints | Sensible aux poinçonnements | Toit bois non/peu accessible |
| Bitume | Système éprouvé, multicouches | Diluants, chaleur de pose | Rénovation, détails complexes |
| PVC-TPO | Pose rapide, soudure air chaud | Compatibilités support | Grandes surfaces simples |
Méthode en 6 étapes pour concevoir un toit-terrasse bois fiable
Étape 1 : Dimensionner l’ossature
Calculez les charges permanentes (poids propre de la structure, de l’isolant, de l’étanchéité, du revêtement, de la neige selon zone climatique) et les charges d’exploitation (120 kg/m² si non accessible, 250 kg/m² si accessible aux piétons). Déterminez la section des solives à l’aide des abaques du DTU 31.2 ou d’un logiciel de calcul de structure bois. Pour une portée de 4 mètres en terrasse accessible, des solives de 75 × 225 mm espacées de 40 cm conviennent généralement, mais un bureau d’études valide le dimensionnement exact.
Étape 2 : Définir la pente et les évacuations
Créez une pente de 2 à 5 % vers les points bas où se situent les naissances d’eaux pluviales. Cette pente s’obtient soit en inclinant les solives dès la pose, soit en ajoutant un panneau isolant en pente, soit en réalisant une forme en bois. Positionnez au moins deux évacuations pour une surface de 40 m², diamètre 80 à 100 mm, raccordées à des descentes EP dimensionnées selon le DTU 60.11.
Étape 3 : Prévoir acrotères et relevés selon DTU
Montez une ceinture périphérique en bois (poteaux ou murets) d’au moins 15 cm au-dessus du niveau fini de la terrasse. Traitez le bois contre les insectes et l’humidité (classe de service 3 minimum). La membrane d’étanchéité remontera sur cette ceinture, puis sera protégée par un profilé métallique ou une bavette.
Étape 4 : Choisir l’étanchéité et les écrans associés
Sélectionnez EPDM, bitume ou PVC-TPO selon les critères vus précédemment. Prévoyez un écran de séparation (feutre géotextile, voile de verre) entre le support bois et la membrane pour permettre les mouvements différentiels. Si vous isolez, vérifiez la compatibilité de l’isolant avec la membrane (un pare-vapeur peut être nécessaire en face chaude de l’isolant).
Étape 5 : Traiter les points singuliers
Identifiez les traversées (souches de cheminée, conduits de ventilation, fixations de garde-corps) et prévoyez des manchons d’étanchéité préformés ou des relevés renforcés. Les rives latérales, angles et jonctions avec les murs verticaux nécessitent des bandes de renfort collées avant la pose de la membrane principale.
Étape 6 : Préparer le revêtement si terrasse accessible
Choisissez entre platelage bois/composite sur plots (ventilation sous les lames, démontabilité), dalles sur plots (protection mécanique de la membrane, entretien facile) ou gravillon (lestage, économique). Les plots réglables permettent de compenser les irrégularités et de respecter la pente d’évacuation. Prévoyez un calepinage avec joints de dilatation tous les 3 à 4 mètres pour le bois.
Pose : tutos clés (ossature & membrane) pour éviter les malfaçons
Plancher-plateforme et acrotère
Posez les solives sur les murs porteurs ou les poutres, en respectant les entraxes calculés. Clouez ou vissez le platelage OSB3 ou contreplaqué CTBH sur les solives, en laissant un jeu de 3 mm entre les panneaux pour permettre les variations dimensionnelles. Montez les acrotères périphériques, fixés solidement à l’ossature. Vérifiez la pente au niveau à bulle ou au laser.
Préparation du support
Nettoyez le support : aucun clou saillant, éclat de bois ou corps étranger ne doit subsister. Poncez légèrement les arêtes vives. Posez l’écran de séparation (feutre ou voile) en le fixant par agrafage ou collage partiel, avec des recouvrements de 10 cm minimum.
Pose de la membrane d’étanchéité
Déroulez la membrane en partant du point bas vers le point haut. Pour l’EPDM, les lés se collent entre eux avec de la colle néoprène ou des bandes auto-adhésives, en respectant un recouvrement de 7 à 10 cm. Pour le bitume, soudez au chalumeau en chauffant uniformément le revers de la membrane et le support, puis marouflez au rouleau. Les relevés se soudent ou se collent sur l’acrotère, puis se protègent par un profilé métallique vissé en partie haute.
Test d’étanchéité
Réalisez un test à l’eau en obturant temporairement les évacuations et en remplissant la terrasse de 5 cm d’eau. Laissez en charge 24 heures et inspectez les sous-faces et relevés. Toute fuite détectée doit être réparée immédiatement (patch EPDM, ajout de mastic bitume).
Platelage sur étanchéité
Si la terrasse est accessible, installez les plots réglables en respectant un entraxe de 40 à 50 cm. Posez les lambourdes (pour platelage bois) ou directement les dalles sur les plots. Laissez un jeu de 5 mm entre les lames de bois pour l’évacuation de l’eau et la dilatation. Prévoyez une ventilation sous le platelage pour éviter les condensations.
Erreurs fréquentes qui coûtent cher (et comment les éviter)
Pente insuffisante : une pente inférieure à 2 % provoque des stagnations d’eau qui accélèrent le vieillissement de la membrane et favorisent les infiltrations. Corrigez en ajoutant un isolant en pente ou en reprenant les solives. Vérifiez la pente finie après pose de tous les éléments.
Relevés trop bas : un relevé de 10 cm seulement ne protège pas en cas de forte pluie ou de neige fondue. Respectez systématiquement 15 cm au-dessus du point haut de la terrasse finie. Si nécessaire, rehaussez l’acrotère avant la pose de la membrane.
Absence d’acrotère ou acrotère mal fixé : sans ceinture périphérique, les relevés manquent de support et se déchirent sous l’effet du vent. Ancrez les montants d’acrotère dans l’ossature avec des équerres ou des sabots métalliques, espacés de 50 cm maximum.
Mauvais choix de membrane vs usage : poser une membrane EPDM non protégée sur une terrasse piétonne génère des perforations rapides. Sur une terrasse accessible, protégez toujours la membrane par un platelage sur plots, des dalles ou un système de gravillon sur géotextile.
Percements non traités : fixer un garde-corps ou une pergola directement en traversant la membrane sans manchon d’étanchéité crée des points de fuite. Utilisez des manchons préformés ou des platines d’étanchéité pour chaque fixation.
Sous-dimensionnement des charges : concevoir une structure pour usage non accessible puis y installer des meubles de jardin et inviter des convives expose à un fléchissement excessif, voire à une rupture. Dimensionnez dès le départ pour l’usage prévu et ajoutez une marge de sécurité.
Entretien absent : ne jamais nettoyer les évacuations ni inspecter les joints entraîne des obstructions et des dégradations prématurées. Planifiez un nettoyage annuel (printemps et automne) pour dégager les feuilles, mousses et débris. Vérifiez l’état des relevés et des joints tous les 5 ans.
FAQ “toit terrasse bois” : réponses aux questions courantes
Quel prix au m² en 2025 pour un toit-terrasse bois ?
Le coût global varie de 180 à 350 € par mètre carré selon l’accessibilité et le niveau de finition. Un toit non accessible avec EPDM et protection gravillon coûte environ 180 à 220 € du m². Une terrasse accessible avec platelage bois ou composite atteint 280 à 350 € du m². Les facteurs influençant le prix incluent la portée des solives, la complexité géométrique, l’ajout d’isolant thermique, le type d’étanchéité et la région.
EPDM ou bitume sur un toit-terrasse bois ?
L’EPDM convient idéalement aux toits-terrasses non accessibles ou peu accessibles, grâce à sa souplesse qui absorbe les mouvements du bois et à sa longévité supérieure à 30 ans. Le bitume multicouches s’impose sur les rénovations complexes avec de nombreux relevés et souches, ou lorsque la mise en œuvre par soudure est maîtrisée par l’entreprise. Pour une première construction simple, l’EPDM offre un excellent rapport qualité-prix-durabilité sur support bois.
Quelle pente et quelles règles DTU pour un toit plat bois ?
La pente minimale recommandée est de 2 %, soit 2 cm de dénivelé par mètre linéaire. Sur les portées supérieures à 5 mètres, visez 3 à 5 % pour compenser les déformations du bois et garantir un écoulement permanent. Le NF DTU 43.4 encadre les exigences d’étanchéité (relevés, points singuliers, évacuations), tandis que le DTU 31.2 régit la conception des charpentes bois. Les recommandations professionnelles de la FFB et du FCBA précisent les bonnes pratiques pour l’ossature bois en toiture-terrasse.
Terrasse accessible aux piétons : quelles conditions ?
Une terrasse accessible doit supporter une charge d’exploitation de 250 kg/m². L’ossature nécessite un dimensionnement renforcé (solives plus épaisses, entraxes réduits). Un garde-corps conforme à la norme NF P01-012 s’impose dès que la hauteur de chute dépasse 1 mètre. La membrane d’étanchéité doit être protégée par un platelage sur plots, des dalles ou un système de gravillon sur géotextile pour éviter les poinçonnements. Les évacuations d’eaux pluviales sont dimensionnées pour la surface totale, et le calepinage du revêtement intègre des joints de dilatation tous les 3 à 4 mètres.
Aller plus loin : accessibilité piétonne & végétalisation légère
Accessibilité piétonne renforcée
Au-delà des conditions structurelles vues précédemment, une terrasse accessible confortable nécessite une réflexion sur l’éclairage, les circulations et l’aménagement. Intégrez des spots LED basse tension dans le platelage ou en périphérie pour les soirées. Prévoyez un accès facile depuis l’intérieur (porte-fenêtre, baie coulissante) avec un seuil de plain-pied ou une marche compensée. Le revêtement bois composite offre l’avantage de ne pas chauffer excessivement au soleil et de ne pas nécessiter de traitement annuel, contrairement au bois exotique.
Végétalisation légère
Une toiture-terrasse bois peut accueillir une végétalisation extensive (sedums, plantes grasses) si la structure supporte la charge supplémentaire : comptez 80 à 150 kg/m² selon l’épaisseur de substrat (6 à 12 cm). Le système se compose d’une couche drainante, d’un filtre géotextile, du substrat léger et des végétaux. L’étanchéité doit être anti-racines (membrane EPDM spéciale toiture végétalisée ou bitume avec protection). La pente minimale reste de 2 %, et les évacuations doivent être surdimensionnées pour gérer les pics de ruissellement après de fortes pluies.
L’entretien d’une terrasse végétalisée comprend un désherbage deux à trois fois par an, un arrosage ponctuel en période de sécheresse prolongée et une fertilisation légère au printemps. Le poids d’eau saturée impose un calcul de structure précis : faites valider le projet par un bureau d’études spécialisé avant d’engager les travaux.
En combinant une ossature bois correctement dimensionnée, une étanchéité adaptée à l’usage et un entretien régulier, votre toit-terrasse bois traversera les décennies en conservant ses performances.



